Votre entreprise est concernée par l’audit énergétique et vous envisagez d’intégrer au périmètre d’analyse la partie transport (PL, VU, VL…) parce que votre facture de carburant est importante ? Comment procéder, quels sont les avantages, vers qui vous tourner ?
L’audit doit couvrir 80% de la facture énergétique de l’entreprise concernée sur trois piliers : le bâtiment, le process et le transport. Il peut donc être intéressant de regrouper vos factures d’énergies (électricité, gaz, carburant…) pour calculer la surface de chacune d’entre-elles et définir votre stratégie d’audit. Y a-t-il des effets de seuil ? Le carburant couvre-t-il 80% des dépenses ou plus ? Vient-il compléter utilement l’audit énergétique d’un ou plusieurs bâtiments ? Costraten vous accompagne dans la partie transport de votre audit Énergétique. Il arrive fréquemment qu’une co-traitance soit mise en place avec des experts du bâtiment ou de l’industrie pour une réponse globale à votre problématique.
Costraten dispose d’une qualification AFNOR, sous le numéro 67 343. Nous vous accompagnons selon la norme EN NF 16247-1 (exigences générales) et 16247-4 (transport), pour vous permettre d’évaluer votre performance énergétique et votre performance environnementale, et de vous inscrire dans une démarche d’amélioration. Costraten a réalisé un grand nombre d’audits énergétiques transport depuis 2015, que ce soit sur des flottes de véhicules légers, de véhicules utilitaires ou de poids-lourds.
Soit parce que c’est votre activité principale (vous êtes transporteur), soit parce que votre entreprise possède une flotte importante de véhicules (y compris des véhicules légers), vous souhaitez ou vous devez intégrer le transport à votre audit énergétique. Vous pouvez le faire en interne si un ou plusieurs de vos collaborateurs est qualifié, ou faire appel à un prestataire externe habilité à réaliser ces audits énergétiques et titulaire d’une qualification.
En savoir plus sur le contexte réglementaire :
C’est d’abord la directive européenne 2012/27/EU portant sur l’efficacité énergétique qui fixe cette obligation de manière large et globale.
La transposition en droit français s’effectue alors par la – puis un premier décret est publié le 4 décembre 2013 précisant les seuils d’entreprises devant réaliser cet audit énergétique.
Il s’agit :
- des entreprises de plus de 250 salariés, ou
- des entreprises ayant un CA annuel excédant 50 millions d’euros, ou
- des entreprises ayant un bilan annuel excédant 43 millions d’euros
Enfin, le décret du 24/11/2014 précise les modalités d’application de l’audit énergétique, et l’arrêté du 24/11/2014 précise ses modalités d’application.